Polémiques transfert d’argent en Afrique : Boris Bertolt fait de terribles révélations sur Stella Kamnga !

Cette émigrée d'origine camerounaise, chroniqueuse et étudiante fait le buzz depuis quelques jours, suite à son intervention très controversée dans l'émission les Grandes Gueules sur RMC.
Stella Kamnga a en effet soutenu en mondovision que les africains de la diaspora devraient arrêter d'aider financièrement la famille restée au bled, qu'elle taxe de '' paresseuse ''.
Suite à ces allégations, le lanceur d'alerte Boris Bertolt est monté au créneau et fait de fracassantes révélations sur la jeune dame.

" La diaspora africaine devrait arrêter d'envoyer de l'argent dans les pays d'où ils viennent. Pour la simple raison que cet argent contribue parfois à la moitié ou à plus de la moitié du PIB des pays en question. Cela favorise, je suis désolée de le dire, de la paresse, des familles qui ne veulent pas bosser. Je suis immigrée, je viens du Cameroun, malheureusement quand on vient de ces pays là, ce qu'on attend de nous justement, c'est que lorsqu'on travaille ici, il faut soutenir la famille au pays. " Tels sont les propos de la jeune chroniqueuse qui ont lancé les débats sur les réseaux sociaux.

Des allégations auxquelles a tenu à répondre le lanceur d'alerte Boris Bertolt. Afripulse vous propose l'intégralité de sa tribune :

Je me serai bien passé de parler de cette racaille intellectuelle. Je ne le dis pas par mépris. Ou parce qu'elle est une femme. Je le dis parce qu'elle l'est.

Depuis deux semaines je lis des livres sur la relation entre la France et l'Afrique. Mais quelques jours avant j'ai achevé la lecture de deux excellents ouvrages : La fragilité blanche de Robin Diangelo et L'esclavage raconté à ma fille de Christiane Taubira.

Croyez moi quand vous achevez ces lectures et vous écoutez Stella Kamnga vous êtes dégoûtés. Je n'ai jamais vu une personne débiter autant d'insanités en quelques minutes comme cette dame. Je vous fais une confidence sa vidéo sur RMC après 33 secondes j'ai arrêté. Je déteste l'intoxication intellectuelle. Mais je l'ai écouté ailleurs.

Cependant en réalité Stella est malade. Elle souffre profondément d'une maladie qui atteint beaucoup d'africains en quête de réussite sur le champ social et politique. Les thèses les plus idiotes de l'extrême-droite sur l'Afrique lui procurent une visibilité qui constitue une thérapie.

C'est une fille qui s'est parfois déshabillée sur les réseaux sociaux pour se convaincre qu'elle était physiquement acceptable suite à des attaques dont elle était victime. Une fille qui en quête de visibilité politique s'était engagée dans la « résistance » au point où elle a participé au saccage de l'ambassade du Cameroun à Paris.

Pour faire simple c'est une personne qui a un besoin fort à la fois d'être sur la scène publique, de reconnaissance et d'être visible. Mais il y a quelque chose de plus profond qui peut être liée à sa famille, son quartier d'enfance, les hommes qu'elle a connus. Elle veut se prouver quelque chose.

Elle bidonne, elle est brouillonne. Elle ramasse des idées par ci par là sans en maîtriser les contours. Et elle doit le savoir à des moments. Mais elle a besoin de ces mensonges, de ces contrevérités, de ces fadaises.

Mais elle sait mieux que nous que c'est en les assénant à répétition qu'elle a ce qu'elle veut. La visibilité et la reconnaissance d'où qu''elle vienne. C'est une thérapie de circonstance.

Elle est malade comme beaucoup d'africains en Occident. Y compris comme ceux qui combattent le racisme chez les blancs et encouragent le tribalisme chez eux. Ils ont tous quelque chose en commun : un traumatisme qui n'est pas visible.

Leurs réactions sont donc la resultante d'un syndrome post-traumatique qui n'est pas encore suffisamment étudié dans les recherches en psychologie.

BORIS BERTOLT

 

 

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