Série de limogeages à Vision 4 : Ernest Obama lynché sur la toile après sa suspension, voici la réaction des internautes suite au renvoi de Francis Bonga !

La chaîne de télévision de l’homme d’affaires Amougou Belinga connait une période de crises depuis quelques temps.
Dans une affaire de détournements au sein de la maison de presse,  le directeur de Vision 4 a procédé à quelques remaniements et a dégraissé la structure d’une bonne frange de son personnel.
Parmi les agents licenciés, le célèbre journaliste Francis Bonga, co-animateur de l’émission Tour d’horizon.

Vision 4 se déleste peu à peu de toutes ses figures emblématiques.
Après Désiré Batamkem, Directeur par intérim à la Direction régionale de Vision4 Littoral, et Linus Djou Nkodo,Directeur Adjoint d’Exploitation dans ledit média, c’est au tour de Francis Bonga, surnommé le ‘’dinosaure’’, de quitter le plateau.
Il fait ainsi partie des victimes collatérales de cette histoire d’escroquerie qui ferait des ravages à Vision 4 et des suites desquelles le patron de l’entreprise médiatique a pris des mesures drastiques.

Par ailleurs, Amougou Belinga, dans la note de licenciement du chroniqueur et présentateur de la rubrique ‘’ Kongossa’’, a mentionné que ce dernier a été licencié pour les motifs de ‘’ perte de confiance et commérage’’.

Des raisons jugées anodines et bien légères par les internautes, qui ont fait preuve d’un grand élan de soutien envers le journaliste démis de son poste.
Dans les commentaires, le observateurs camerounais envoient des messages d’encouragement à Francis, et s’insurgent sur les licenciements intempestifs de Belinga, qu’ils qualifient '' d’abus de pouvoir et d’humiliation envers les hommes de presse''.

Une réaction positive bien loin de celle que les camer ont eu à l’annonce de la mise sur pied de Ernest Obama, qui avait été hué sur la toile, principalement par ses confrères journalistes.
Une réaction qu’avait déplorée le président du syndicat des journalistes, Denis Nkwebo, qui avait rappelé à l’ordre ses homologues et préconisé une plus grande solidarités des hommes de presse dans ces cas de figures, où leurs collègues se retrouvent dans des situations difficiles.